Prénoms déjà vus commençant par V

Prénoms de la même famille : Balendin (basque), Balere (basque), Bálint (hong), Folant (gallois), Vailintin (irl), Valan (gaelique), Valence, Valens (lat), Valenta, Valente, Valentia (lat), Valentin, Valentina ( esp, ital), Valentine, Valentiniano (ital),Valentino (ital), Valentinus (lat), Valer, Valère, Valeria (esp, ital), Valérian, Valeriana (ital), Valériane, Valeriano (esp, ital, port), Valerianus (lat), Valérie, Valérien, Valerio ( esp, ital, port), Valeriu (roumain) , Valerius (lat), Valero (esp, ital), Valeska, Vali (russe), Valia (russe), Vallier, Valorie (angl), Valtin, Velten (germ), Volusiano (ital),Volusianus (lat), Volusien (étrusque), Walenty (pol)

Fête : le 18 janvier (Volusien de Tours), le 14 février (Valentin), le 19 février (Vallier d’Antibes), le 14 avril (Valérien de Rome), le 28 avril (Valérie de Ravenne), le 14 juin (Valère de Soissons), le 5 juillet (Valier du Couserans), le 23 juillet (Valérien de Cimiez ), le 25 juillet (Valentine de Césarée), le 15 septembre ( Valérien de Tournus), le 22 octobre (Vallier de Langres).

Origine et étymologie : du latin « valeo, ere, valui, itum » = qui se porte bien
.......................,....................... «valens, entis » = fort, robuste
.......................,....................... «valentia, æ » = la vigueur

Signification : La salutation latine était « Vale » c’est à dire « porte-toi bien ».
Les prénoms commençant par « Valer-» sont formés sur l’infinitif, alors que ceux débutant par « Valen-» le sont sur le participe présent.

Saint Patron :

-- Valérien aurait été un des premiers martyrs en 178, à Tournus, lors des persécutions de Marc-Aurèle. On connaît son existence par Grégoire de Tours.

Prénoms de la même famille : Bittor (basque), Buadhach (irl),  Fieke (frison), Garaine (basque), Garaitz  (basque), Géza (hong), Gwythyr  (gallois),  Gyözö (hong), Vicky (angl) ,Vico (ital), Victa, Victoire, Victor, Victoria, Victorian, Victoriane, Victoriano (esp), Victoric, Victorien, Victorilla, Victorina (esp),  Victorine, Victorino (esp),  Victorius (lat), Victrice, Viggo ( scand),  Viktor, Viktorian,  Vitor (port),Vittore (ital),  Vittorino (ital), Vittoria (ital), Vittoriano (ital),  Vittorico (ital), Vittorio (ital),  Vittoriu (corse), Vitulja ( russe), Wiktor (pol)

Fête : le 23 mars (Victorien de Carthage), le 15 mai (Victorin de Clermont),   le 21 juillet (Victor de Marseille), le 7 août (Victrice de Rouen), le 1er  septembre  (Victeur du Mans), le 11 décembre (Victoric d’Amiens), le 22 décembre (Victoire de Rome)

Origine et étymologie : du latin « victor, victoris » = le vainqueur
,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,ou « victoria, æ » = la victoire
,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,ou « victrix, icis » = victorieux
,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,ou « vinco, ere, vici, victum » = vaincre  

Saints Patrons :

 --Victrice, né en Gaule, fut d’abord soldat mais, étant devenu chrétien,  sous le règne de Julien l’Apostat, il décida de quitter l’armée. Condamné par ses supérieurs à être décapité, il parvint à s’échapper (la légende raconte que ses chaines tombèrent d’elles-mêmes et que ses gardiens épouvantés lui rendirent la liberté).
Il fut missionnaire en Artois et en Flandre puis devint évêque de Rouen où il mourut vers 407.  



-- Victeur fut nommé évêque du Mans par saint Martin de Tours. Il mourut vers   490.

Prénoms de la même famille : Bixente (basque), Sentz (frison), Viance, Vicenç (catalan), Vicente (esp,ital, port), Vikéndios ( gr), Vikenti (russe), Vinca, Vince ( angl), Vincence, Vincente, Vincentine, Vincentius (lat), Vincenza (ital),Vincenzo (ital), Vinciane, Vincien, Vincienne, Vinzentia, Vinzenz (germ), Visant (breton), Wincenty ( pol)

Fête : le 2 janvier (Vincentien d’Auvergne), le 22 janvier ( Vincent de Saragosse), le 5 avril (Vincent Ferrier), le 28 juin ( Vincente de Lovere), le 11 septembre ( Vinciane de Gand) , le 27 septembre (Vincent de Paul )

Ancien calendrier : les 19 juillet et 27 septembre (Vincent de Paul )

Origine et étymologie : du latin « vincens, entis » = Celui qui est vainqueur.
,,,,,,,,,,,,,,,,,, participe présent de « vinco, ere, vici, victum » = vaincre

Sainte Patronne :

--Vinciane était venue d'Italie en Belgique, avec son frère, saint Landload. A sa mort, en 670, elle fut enterrée à Wintershoven, puis son corps fut transféré à Gand (Belgique).

Prénoms de la même famille : Bebién (poitevin),  Bibiana (ital, esp),   Bibiane, Bibiano (ital, esp),  Bibiñe (basque), Vianney (lyonnais), Viau (poitevin), Vidal (esp), Vidau (provençal), Vidian,  Viivi (finl), Vita (lat), Vitale (ital), Vitalia (ital), Vitalianus ( lat), Vitalica, Vitalien,  Vitalija (lituanien), Vitalina (ital), Vitalis (lat), Vitalius (lat), Vitaliy (russe), Vitya (russe),Vivant (médiéval), Viveka (scand), Vivence, Vivencio ( esp), Viventiole,  Vivenzio  (ital ), Viveto (provençal), Vivette, Vivi, Vivian (angl), Viviana (ital, esp), Viviane, Viviano (ital), Vivianus (lat), Vivien, Vivienne, Vivina (esp).  

Fête : le 13 janvier (Vivence de Poitiers), le 27 janvier (Vitalien Pape), le 10 mars (Vivien de Sébaste), le 28 avril (Vital de Ravenne), le 12 juillet (Viventiole de Lyon),  le 4 août (Jean-Marie Vianney), le 27 août (Vidian de  Martres-Tolosane), le 20 octobre (Vitalis de Salzbourg), le 24 novembre (Bieuzy du Blavet), le 2 décembre (Viviane de Rome)

Ancien calendrier : le 9 août (Jean-Marie Vianney)

Origine et étymologie : du latin « vivo, vivere » = vivre
,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, ou « vita, ae »= la vie
,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, ou « vitalia, ium »= les forces vitales
Par bêtacisme, le V latin s’est transformé en B dans certaines langues romanes.

Signification : Celui qui vit (dans la vie éternelle).

Saints Patrons :    

– Vidian, qui est vraisemblablement un saint inventé, aurait été pris en otage par les  Sarrasins, qui occupaient alors l’Espagne et le sud de la France. Après sa libération, il rassembla une armée et vainquit les Sarrasins à Lucerna (Roland était déjà passé par là) et fut félicité par Charlemagne. Lors d’une seconde expédition il fut vaincu et tué à Angonia (aujourd’hui Martres-Tolosane).
La légende raconte que sur le point d’être capturé, il jeta son épée et une source jaillit à l’endroit où elle retomba.


--Jean-Marie Baptiste  Vianney fils d’une pauvre famille paysanne de Dardilly ( banlieue nord de Lyon), apprit à lire à dix-huit ans. Après deux ans de séminaire, il fut renvoyé car « debilissimus ». Quand on le traitait d’âne, il répondait : « Samson a tué mille Philistins avec une mâchoire d’âne. Que fera-t-on avec un âne entier ? ». Il fut finalement nommé prêtre dans un tout petit village de l'Ain, Ars, considéré à l’époque comme un désert lointain, inculte et païen. Peu doué pour le prêche, il se révéla un confesseur étonnant. Il finit par attirer de véritables foules vers son confessionnal, où il passait plus de quinze heures par jour. Quand il en sortait il se donnait la discipline, mangeait quelques pommes de terre froides et se couchait sur un grabat quand le démon le laissait en paix. Il subit les attaques du « grappin », qui allait jusqu’à brûler son lit, pendant trente-cinq ans. Il mourut en 1859.

     
Il est le saint patron de tous les curés du monde.

Vianney, qui est le nom de famille du Curé d’Ars, est un prénom de la région lyonnaise.